Quel succès pour le gouvernement Valls ! 100 % des suffrages exprimés pour soutenir à l’Assemblée nationale la loi de Valls et de Cazeneuve contre le terrorisme sur Internet.
Face à un FN qui se proclame « premier parti de France », la riposte s’organise et le camp antifasciste se reconstruit. Le congrès du parti d’extrême droite à Lyon les 29 et 30 novembre est l’occasion de ne pas lui laisser le terrain droite en organisant un week-end de mobilisation .
Dans un petit ouvrage récemment paru, Affinités révolutionnaires. Nos étoiles rouges et noires, Olivier Besancenot et Michael Löwy relancent un débat tous azimuts avec les libertaires. Les enjeux sont importants, en interne au NPA et dans la construction unitaire d’une force anticapitaliste élargie. Voici une première réponse.
Quand on veut gagner une lutte, il faut bien se décider à rompre avec l’« apolitisme », qui consiste le plus souvent à mariner dans le conformisme le plus tiède. C’est l’enjeu actuel au sein de la mobilisation de l’Enseignement supérieur et de la recherche contre les restructurations, la précarité et la souffrance au travail.
La société du numérique, c’est aussi la destruction programmée d’un certain nombre d’emplois non-qualifiés, dont certaines activités fortement féminisées, comme dans l’enseignement.
Il y a à peine un siècle, dans un Japon qui se modernise sur le modèle occidental, apparaissent en même temps le capitalisme, l’anarchisme et le féminisme. Itô Noé fait partie de ces pionnières qui osent contester l’ordre impérial et patriarcal.