Le 8 mars nous serons en grève et dans la rue, pour le partage des tâches domestiques et des tâches de soin aux autres, pour une organisation anticapitaliste du travail et de la production, pour le respect de toutes les identités et sexualités, pour la disparition des frontières, pour la fin des violences commises par les hommes.
Contre les projets de loi sécurité globale et séparatisme, l’UCL se mobilise. Construisons le pouvoir populaire. En manifestation le 30 janvier, en grève le 4 février.
Conditions sanitaires insuffisantes, charge de travail trop importante, stress, précarité, mauvaises conditions de travail : la situation des étudiant•es et lycéen•nes pendant la pandémie de COVID ne s’améliore pas, bien au contraire, et on continue d’être abandonné•es à la précarité et à la détresse psychologique.
La peur du chômage pèse sur des millions de salarié.e.s. Confinement et couvre-feu compliquent la mobilisation. Mais des luttes existent et une riposte générale de notre camp s’impose. Pour cela, il nous faut être tenace, à l’offensive et réaliste.