Depuis 2021, les prix des produits de première nécessité augmentent. Il suffit de voir le prix de l’essence, mais aussi celui de l’énergie et de l’alimentation... Produits dont nous ne pouvons pas nous passer. Aujourd’hui faire le plein coûte bien plus cher qu’en octobre 2018... lorsque que le mouvement des Gilets Jaunes a éclaté !
Le 13 janvier 2022, toutes les organisations syndicales de l’éducation nationale appellent à la grève.
Nous soutenons avec force ce mouvement, et les militant·es de l’UCL seront dans l’action ce jeudi.
Contre Darmanin, son monde et surtout son projet de loi immigration 2023, l’UCL appelle à manifester partout en France le 18 décembre, aux cotés des personnes exilées. Avec cette loi, Darmanin entend maintenir les sans-papiers la tête sous l’eau et les expulser plus facilement tout en fermant un peu plus la porte de la régularisation.
Il ne faut pas juste les encourager, il faut les imiter !
Les ouvrières et ouvriers de Total (des raffineurs aux pompistes) ont raison de réclamer des hausses de salaires, alors que l’inflation prend à la gorge. Alors qu’il se refuse à réquisitionner ces « superprofits » en les taxant, le gouvernement prétend réquisitionner les grévistes et leur envoie les flics : l’État, un instrument au service des capitalistes.
Mais c’est partout que l’inflation pousse à revendiquer : ferroviaire, transports, énergie, éducation, métallurgie... les appels à la grève se succèdent. On a besoin d’un vaste conflit social comme point de départ pour aller plus loin.
« Nous vivons la fin de l’abondance », a annoncé Emmanuel Macron. C’est la vérité ! Mais quand Macron dit cela, il signifie que les travailleuses et travailleurs vont devoir se serrer la ceinture… pour sauver le système qui permet à une minorité privilégiée de surconsommer. Il faut au contraire en finir avec ce système : atteindre la sobriété collective, tout en assurant un droit de vivre égal pour toutes et tous.
Depuis 1990, les femmes d’Amérique latine et des Caraïbes se réunissent chaque 28 septembre pour demander l’accès à un avortement sûr, légal et gratuit sans stigmatisation ni criminalisation. Cette journée mondiale de l’avortement a été choisie en référence à la loi brésilienne dite du « Ventre Libre » du 28 septembre 1871, qui libérait tous les enfants nés de parents esclaves. Reprenant le slogan « Pour un ventre libre », elles veulent que la fin de l’esclavage soit aussi celle de l’esclavage du ventre.
La présidentielle l’a montré, le système électoral est à bout de souffle. Pour ne plus être confronté·es à de faux choix dont nous ressortons toujours perdant·es, nous ne devons plus déléguer notre pouvoir mais nous organiser collectivement, lutter en favorisant l’organisation à la base la plus démocratique et autogestionnaire possible. Et veiller à l’indépendance syndicale.
Contre les fascistes et les capitalistes, ce sont les conditions de notre victoire !
Depuis 2021, les prix des produits de première nécessité augmentent. Il suffit de voir le prix de l’essence, mais aussi celui de l’énergie et de l’alimentation… Produits dont nous ne pouvons pas nous passer. Aujourd’hui faire le plein coûte presque deux fois plus cher qu’en octobre 2018… lorsque que le mouvement des Gilets Jaunes a éclaté !