N°210 (octobre 2011)

Octobre 1961 : De Papon à Guéant, 50 ans de racisme d’État ; Crise de la dette : L’engrenage ; Goodyear, PSA, Renault : Au pied du mur, les ouvriers ne céderont pas ; SBFM : Victoire pour les fondeurs ; Université : De la licence au licenciement ; Éducation : L’austérité en mode bazooka ; Violences sexistes : Un statut autonome des femmes ; Accident nucléaire après le crash-test de Marcoule ; ...

Editorial : Les affaires, c’est les affaires

 

Crise de la dette : L’engrenage

 

Discours et faux-semblants : Qui paie leur dette s’appauvrit

 

Goodyear, PSA, Renault … Au pied du mur : les ouvriers ne cèderont pas

 

FDB : Victoire pour les fondeurs

 

Université : De la licence au licenciement

 

Dico antiautoritaire : « L’ennemi intérieur »

 

Education : L’austérité en mode bazooka

 

Mobilisation du 11 octobre : A la recherche d’une conviction

 

Paris XXe : Les anti-IVG assiégés

 

Musées : De l’art ou du cochon ?

 

Violences sexistes : Un statut autonome pour les femmes

 

Chroniques du travail aliéné : Rosette, directrice de foyer pour personnes âgées

 

Accident nucléaire : Après le crash-test de Marcoule

 

Gaz de schiste : Un point de ralliement : « l’Appel de Lézan »

 

Russie : Un camarade traqué et marginalisé

 

Allemagne : Sortir du nucléaire … pour un capitalisme vert

 

Chili : Éclosion d’assemblées populaires

 

Québec : Franche réussite du IIe congrès de l’UCL

 

Italie : Syndicalisme : La base reprend le dessus

 

Les brèves d’octobre 2011

 

Les fantômes du 17 octobre 1961 sont toujours là

 

Octobre 1961 : Pourquoi une si longue indifférence ?

 

1961 : L’État français noie la protestation populaire dans le sang

« Le plus grand massacre d’ouvriers depuis la semaine sanglante de la Commune de Paris de mai 1871. » Voilà comment l’historien Gilles Manceron décrit la vague meurtrière déclenchée en octobre 1961 par la police française sur ordre de son préfet, l’ancien fonctionnaire vichyste Maurice Papon.

 

Hommage : Dernier témoin de l’anarchisme algérien, Léandre Valéro s’en est allé

Léandre Valéro est mort à l’âge de 88 ans. C’est un parcours digne d’un roman que celui de ce militant syndicaliste et communiste libertaire qui a soutenu les indépendantistes indochinois puis algériens. De 1954 à 1956, il fut aussi un des principaux animateurs du Mouvement libertaire nord-africain.

 

Classiques de la subversion : Daniel Guérin, « Pour le communisme libertaire »

 

Bande dessinée : Trois récits sur la Révolution russe

 

Naissance : Après la RiLi, vive la RdL !

 

Lire : Sahagian, « Victor Serge, l’homme double »

 

A Contre Courant : Ne faites pas cette tête là ! (maladroite – et vaine ? – tentative pour consolider une gôche affligée)

 
 
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